-
général
Parce que c'est bien.
-
Par -Gabo- le 20 Février 2014 à 17:43
Vidéo inspirée plastiquement du court-métrage "poussières d'Amérique" du réalisateur Arnaud Depallier, en réponse au sujet "spectral" donné en cours de son à la Villa Arson l'année 2013-2014.
Le principe étant de montrer des images les plus bruyantes possibles.
votre commentaire -
Par -Gabo- le 20 Février 2014 à 09:43
La fille de l'hiver
inspiré par une chanson de la chanteuse Camille ainsi qu'une balede ou on a fait les châtaignes en automne vers avec Mathilde.
votre commentaire -
-
-
Par -Gabo- le 16 Décembre 2013 à 23:52
Séminaire sur le cosmétique
Un grand merci à Théodora Domenech, professeur de philosophie qui à eu l'idée de ce séminaire sur le cosmétique, avec la participation de Thomas Golsenne professeur d'histoire des idées, avec à la fois les étudiants des beaux arts de Nice et de ses propres étudiants de philosophie de l'université Sophia Antipolis à Nice.
séance 1
Lecture de "L'art d'aimer", un texte d'Ovide, poète latin, en l'an I aprés J.C .
Déjà regardons ce terme, cosmétique, du point de vue Grec Antique. Cosmétique viens de cosmos. Ce qui est ordonné est beau. Le cosmos est la perfection même de l'organisation des choses. (Donc le cosmos est beau.)
Le texte set en trois parties, comment séduire une femme, comment garder la femme que l'on vient de séduire et enfin il donne des conseils pour les femmes.
Ovide dit en gros que la rusticité d'atant n'st plus (l'époque ou l'on vivait encore dans les cavernes comme des gros sauvages). Il dit que le faste est néfaste, qu'il faut que le maquillage et la parure fassent naturel. Les cheveux par exemple doivent être coiffés mais il ne faut pas que ça fasse trop bien fait, comme ça ça garde un certain charme.
Mais que signifie naturel ? Au théâtre un jeu naturel signifie un jeu adapté à la situation. Shakespeare disait "la vie est un théâtre". En art contemporain la beau se crée dans les coulisses.
Tant qu'on y est voilà un autre concept à méditer: la grâce est différente de la beauté, le charme est lui aussi différent de la beauté.
séance 2
Cette fois le cours a eu lieu non pas à la Villa Arson mais à l'université Sophia Antipolis, sous la forme d'un vrai cours de phylo, ce qui est un peu déconcertant.
Article en cours de rédaction ...
votre commentaire -
Par -Gabo- le 3 Décembre 2013 à 02:00
Un amis m'a fait remarquer qu'au final les désirs de ce robot sont étrangement semblables aux miens. C'est moi qui veux avoir ni trop chaud ni trop froid, etc. Au final ce robot ne serait qu'une projection de moi ...
votre commentaire -
Par -Gabo- le 25 Novembre 2013 à 00:07
Sujet donné en numérique (matière regroupant son, vidéo et photo) : SPECTRAL
Donc j'ai pour projet de concevoir un robot, matériel, avec une intelligence, une âme, immatérielle. Le tout dans un esprit Ghost in the Shell, film japonais de Mamoru Oshii, dans leuel des personnes bioniques se posent la question de leur âme au sein de leur corps artificiel.
Question également traitée dans le manga Chobit du studio Clamp, ou dans le film AI de Spielberg, sans oublier les incontournables romans d' Asimov.
Se pose alors la question : qu'est ce que l'âme ? Un robot est un être d'actions pures. Alors qu'est-ce qu'un tel être pourrait il "faire" de son existance ? Réponse: agir selon son âme, et non pas selon des directives artificielles et arbitraires, comme d'habitude.
Mais alors selon quoi agissont-nous ? Quel est ce but dans le vie ? Disons que notre but dans le vie est d'être heureux. Proposition moins naive qu'elle n'en a l'air. Donnons une définition du bonheur : être heureux c'est être plein de plaisir. Créons donc une variable "plaisir" à l'interieur du robot, que le robot vas chercher à augmenter le plus possible.
Ainsi nous avont un robot qui vas agir selon une variable. Mais cette variable se doit d'être subjective. Rendons-là donc fluctuante.
Comment rendre cette variable fluctuante ? Dison d'abord que plus le robot a de plaisir, mais il en demandera plus.
Puis regardons le rapport de l'esprit du robot à son corps. Car en effet le plaisir (et le déplaisir) du robot va provenir du corps du robots, c'est à dire de ses capteurs sensoriels.
disont un capteur de lumière : s'il n'y a pas asser de lumière, la variable "plaisir" vas descendre, et le robot sait que aller vers la lumière augmentera la variable "plaisir". Mais trop de lumière vont faire baisser la variable "plaisir".
De même avec un capteur de température, et de son.
Le robot vas donc avant chaque action faire une simulation. Exemple : si j'avance, je m'approche d'une source luineuse, mais je me rapproche également du bruit. Faisont une simulation voir commment se comporte ma variable plaisir. Faire également une simulation si jamais je recule. Comparons les deux résultats. Choisissons l'action qui augmentera le plus ma variable plaisir.
Tout à l'heure j'ai dit que plus le robot aurait de plaisir, moins il en demanderai. Comment réaliser celà dans la pratique ? disont que plus il a de plaisir, moins il va réaliser d'actions ayant pour objectif d'augmenter ce plaisir. Comment ? En espaçant les action dans le temps. Ainsi plus le robot aura du plaisir moins il bougera, jusqu'au stade de plaisir absolu où il sera immobile, stade qui ne sera jamais atteint étant donné que les évènements exterieurs sont en constante fluctuations.
Enfin, dernier détail, il y aura des corrélations entre les différents sens. Par exemple, une source lumineuse sera prometteuse de chaleur, mais ausssi de bruit (car suspicion d'activité étrangère à proximité).
Voilà le projet fort ambitieux.
1 commentaire -
Par -Gabo- le 1 Novembre 2013 à 14:16
Exercice donné par un professeur allemand.
détail :
Autre exercice :
dessin d'observation
votre commentaire -
Par -Gabo- le 27 Octobre 2013 à 00:05
Le vol de la fromagère
Chrysanthème la fromagère, dans sa ferme au sein du Cantal, de seize ans plus agée que son fils ainé, trayant ses chèvres et enfantant de son mari, se rêvait dans de lointaines contrées exotiques, admirant des viaducs gigantesques en Aveyron, voyant s'étendre les Cévènnes du haut du pic de Finiels, rencontrant des altiligériens, contemplant Clermont-Ferrand du sommet du puy du Dôme et même ecoutant discourir les hommes politiques de Correze.
Le marchant d'orge, de vingt ans plus agé mais fort malin, n'était que bien trop au courant des fabuleux désirs de Chrysanthème la fromagère. Ainsi, un beau matin, notre Chrysanthème, aprés un quart de siècle dépensé dans les montagnes mortes du massif central errodés par les pluies froides et les neiges hivernales glaciales, se vut offrir, à l'heure de la livraison d'orge, les beautées du Lot, joyeux comme ses rivières, secret comme ses causses, plein de promesses généreuses comme ses vignobles, et, ne laissant qu'un mot griffonné à l'attention de son mari, partit au bras du marchand.
Qui vanterai encore la beauté de l'âme innocente et naive d'une jeune femme belle te fraîche, aprés la terrible histoire qui s'ensuivit ? Le mari, livré seul à la charge des quatres enfants, devint évidamment fou de rage. Chrysanthème la fromagère, quand à elle, se vut asservir le marchand d'orge ainsi que ses six fils, bien contents qu'une femme s'acquiert enfin des tâches ingrates depuis le départ de leur mère.
Pauvre Chrysanthème. Mais les années eurent raison de sa crainte envers le terrible marchand d'orge et, par une claire nuit de pleine lune silencieuse, elle s'enfuit sur la pointe des pieds sans un bruit. Le marchand d'orge, l'ayant aussitôt rattrapé, sut que son jeu ne put plus durer. Mais avant d'y mettre fin, l'infâme demanda une rançon au mari, et ce n'est qu'aprés réception du virement bancaire qu'il abandonna Chrysanthème seule au bord d'un chemin.
Je vous met en garde demoiselles des champs, ne vous faites pas voler, car les loups rodent dans nos campagnes, et à la vue de votre chair tendre vous dévorer devient leur dernier shouait.
votre commentaire -
-
-
Par -Gabo- le 20 Juin 2013 à 20:49
Notre professeur de céramique nous a donné comme sujet "interroger les propriétés de la céramique". Donc j'ai fait un escargot avec la coquille cuite (durable) et le corps cru (périssable).
votre commentaire -
-
-
Par -Gabo- le 8 Juin 2013 à 20:13
Tout commence avec le coloc "Les formes des Sciences", à la Villa Arson, auquel participaient de grands mathématiciens, ethnologues, physiciens, etc.
Vint la conférence du mathématicien Luciano Boi portant sur les Formes, suivit d'un workshop aucour duquel nous avons fait le tour de l'école pour observer dans les jardins les Formes.
Nous avons décider de collaborer afin de réaliser une sculpture représentant un tore à trois trous. Voici la définition wikipédienne d'un tore:
Un tore est un solide géométrique représentant un tube courbé refermé sur lui-même. Le terme « tore » comporte différentes acceptions plus spécifiques selon le contexte :
- En mathématiques, plus particulièrement en topologie, un tore est un quotient d'un espace vectoriel réel de dimension finie par un réseau, ou toutespace topologique qui lui est homéomorphe. La surface du solide de révolution décrit ci-dessus est généralement homéomorphe à (R/Z)×(R/Z), exception faite des cas dégénérés.
En gros il y a plusieurs familles de forme. Si on gonfle un gobeler en plastique (un peu d'imagination) on obtient une sphère. Si on gonfle un mug, à cause de la hanse, on obtiendra un donut. Le donut est la forme la plus basique du tore.
Mais nous comme on aime la complexité on veux faire un tore à trois trous.
Mais le tore à trois trous sous cette forme là ne nous interresse pas Ce serait plus amusant de réaliser un tore à trois trous qui se développe à partir d'un plan.
Voilà le challenge:
Maintenant, la réalisation.
première étape: les trois arcs. Ils sont réalisés à partir d'un tube d'acier de trois centimètres de diamètre et de deux millimètres d'épaisseur. Quatre mètre de tube ont été necessaires.
La première difficulté a été de réalisé la courbure en haut de l'arc. Pour ce faire j'ai découpé sept petites sections que j'ai ensuite soudées au mig. J'ai ensuite meulé les soudures, poncé, limé et martelé.
Voilà un arc:
Ensuite il a fallu réaliser la plaque inferieure. Je l'ai découpé au plasma dans une plaque de métal de un millimètre d'épaisseur. La découpe au plasme a nécessité un gabarit en bois, réalisé à la scie sauteuse.
Voici la plaque avant découpe avec le gabarit posé dessus, maintenu par des poids qui traînaient là :
Puis il a fallu découper des cercles, de 8 cm de diamètre, pour insérer les arcs, avec une cloche. D'abord l'étape du marquage, puis le perçage de chaque centre de cercle pour enfin le découpage à la cloche, à l'aide d'une perçeuse à air comprimé, qui necessite une bonne poigne pour contrer le couple.
Puis il a fallu donner sa forme de vague à la plaque, en la faisant passer sous des rouleaux, en l'ayant au préalable parfaitement ébavurée. Puis il a fallu positionner les arcs. Comme ça tombait pas tout à fait juste il a fallu régler l'écartement des arcs (marteau, enclume, pied, jambe, etc).
Une fois les arcs positionnés il a fallu fabriquer les cônes pour relier le tout. Je les aienr réalisées à même la sculpture en papier afin de reporter le patron sur une plaque de métal de un millimètre d'épaisseur. Découpe à la disqueuse, finition à la ponceuse et martelage pour leur donner la forme.
Voilà ou en est la sculpture pour l'instant. Reprise des travaux mardi prochain !
1 commentaire -
Par -Gabo- le 8 Juin 2013 à 18:17
Ca c'est Marie-marie Dutuour.
Gouache et acrylique sur craft, je dirai 1 m par 1.5 m, à vue d'oeil.
détail.
votre commentaire -
-
-
Par -Gabo- le 7 Mars 2013 à 22:04
Fabrication d'un chariot.
La prof de lithographie a besoin d'un petit chariot pour transporter ses pierres.
Conception du chariot en 3D sur ordinateur.
Découpe des éléments.
Soudure, et limages des soudure à la disqueuse.
Découpe du plateau à l'atelier bois.
Et voilà, deux jours de travail, avec un cours de nu et une soirée arosée entre. Reste plus que les roulettes.
votre commentaire -
Par -Gabo- le 3 Mars 2013 à 02:11
Recherche.
"Le message c'est le médium", dixit Bertrand Dezoteux.
Dire les choses, qu'il faut dire, dans l'idée des philosophes de comptoir du dimanche. Les dire d'une autre manière, manière à trouver, donc à chercher.
Du séduisant, du rêve, du "spectacle" comme on dit dans la société. On soigne le mal par le mal.
1 commentaire -
Par -Gabo- le 27 Février 2013 à 13:49
Rêve de la nuit du 26/02/2013 au 27
Villefranque (ou pas), on me dépose en voiture (ma mère ?) au détour d’un virage. Je veux pisser mais régulièrement des gens passent. Il y a un fossé que j’enjambe à moment donné. Marion et Simone arrivent. La maison de Simonne est juste à côté. On est content de se voir tous les trois. Elles me demandent des nouvelles. Je dis que je suis aux Beaux-Arts, au Japon. On cherche le Japon dans un atlas. Mais à chaque fois la carte s’arrête juste à la limite et on ne trouve pas le Japon. Le monde est grand. C’est bizarre parce que l’on n’a mis qu’une journée de voiture avec mes parents pour ‘y rendre. C’est peu. D’autant plus qu’il faut passer par la Russie, ce qui implique l’obtention d’un visa. Même si on ne s’y arrête pas ? On descend de chez Simonne jusqu’au centre du village, et on s’arrête à l’hôtel à l’angle, juste en face de Hannah coiffure. On note des trucs administratifs sur des ppiers sur la porte de l’hôtel et sur nos passeports. On entre. La gérante ressemble à Suzie. C’est la deuxième fois que je suis là. Il y a trois militaires en uniforme dans la pièce exiguë. Sur la table de quoi rafistoler leurs uniformes : petits bouts de tissus kakis, fils et aiguilles. Ma mère fait remarquer qu’ils pourraient savoir réparer leurs uniformes eux-mêmes. Leurs uniformes ne semblent pas endommagés. Ils sont parachutistes. Mon père se met à raconter son expérience de parachutiste dans l’armée. Une section expérimentale d’aéronautique. Des opérations les plus dangereuses et les plus folles exécutés par des tarés (un peu la même ambiance que Apocalypse now). Ces opérations folles ont lieu dans un monde qui tombe dans le déchéance. Je suis dans cette ville déchue. Il est question d’un livre. Mais il n’y a plus d’imprimerie en état de fonctionnement, donc un livre est impossible. D’où l’idée de lancer la rumeur que le parti socialiste a sorti un livre, pour créer un mouvement. Il y a des gangs de méchants asiatiques en costa cravate. Deux d’entre eux, le gang A et le gang B, font une course poursuite en voiture. Dans la rue le garde du corps du gang A se retrouve en bas d’un escalier. Deux gars du gang B emportent le chef du gang A. Le gars du gang A fait un bruit pour que les gars du gang B se penchent au-dessus de la rambarde. Il leur tire alors une balle dans la tête, blessant son chef au passage. Le chef du gang B arrive. Il n’est pas armé, donc impuissant. Lui et le gars du gang A discutent pour calmer le jeu et finissent par s’échanger un capote pour partir en paix. Le chef u gang B ouvre la capote, ce qui m’étonne étant donné qu’il la gâche ainsi. Je vais à la prison des filles voir mon amie pour la deuxième fois. C’est le soir. Il s’agit d’un couloir avec des dortoirs à gauche et à droite. Quand je rentre deux jolies filles s’embrassent et se câlinent tendrement au sol dans le couloir. Une troisième jolie fille se joint à elles. Toutes les chambres sont remplies de jolies filles. Mon amie m’attend au bout du couloir. Elle est jolie Elle a de long cheveux lisses et blonds. On entre dans le dortoir du fond. La lumière y est éteinte, toutes les autres filles dorment dans cette chambre. Le lit de mon amie est à droite, juste éclairé par la lumière bleue de la lune. Elle referme la porte derrière elle. Je fais remarquer tout doucement que nous sommes tous les deux-là et que l’on ne voit plus rien. On s’embrasse alors immédiatement pour la première fois. On se couche dans son lit. Je suis au-dessus, les jambes écartées autour d’elle. Je me souviens d’un image d’amour de ma banque d’images, te m’insère entre ses jambes. Je suis toujours dans le lit mais c’est ma chambre et je suis sur mon gros ours en peluche brun. C’est comme si je baisais mon ours. Un sorte de branlette. La lumière est allumée. Ma mère entre. Je cache l’ours en peluche sous ma couverture pour ne pas qu’elle croie que je dors avec une peluche.
Carrefour auquel l'on m'a déposé. La maison que l'on vois est celle de Simonne. Dans mon rêve cet endroit est beaucoup plus boisé.
Centre de mon village. L'hôtel dont j'ai rêvé est à l'angle à droite. Il n'existe pas dans la réalité.
Voilà le style de l'unité dans laquelle servait mon père, en tant que parachutiste, dans mon rêve.
Voilà le genre des méchants asiatiques.
votre commentaire -
-
-
-
-
Par -Gabo- le 27 Janvier 2013 à 19:01
Nouveau projet de parfum. Aprés avoir extrait l'odeur de feuilles d'eucalyptus, nous nous metons à l'orange. Elle c'est Mathilde. Devant elle la cocotte minute dans laquelle sont placées les épluchures d'orange et de l'eau, le réfrigirant composé d'un long tuyau et d'un bac d'eau froide avec des glaçons, et la bouteille de récupération.
votre commentaire -
Par -Gabo- le 19 Janvier 2013 à 22:24Le jours se lève sur la jolie cabanne de Petit Monstre. "Aujourd'hui, je vais offrir cette jolie fleur à Arbre, que je trouve trés belle et que j'ai envie d'embrassser" se dit Petit Monstre. Petit monstre arpente alors de bon entrain le chemin parmis les branches vers le coeur de Arbre. Mais il faut marcher beaucoup et petit monstre est de plus en plus fatigué. Bientôt Petit Monstre ne sait plus quel où quel chemin emprunter dans Arbre. Petit Monstre se rend à l'évidence, jamais Arbre ne lui montrera le chemin vers son coeur. Abattu, combattu et courbattu Petit Monstre rentre chez lui le coeur lourd la gorge sèche et la larme à l'oeuil. Mais petit Monstre a quand même signifié à Arbre par sa tentative qu'il l'aimais. C'est pourquoi Petit Monstre au fond de lui se sent bien, aprés tout.
votre commentaire -
-
Par -Gabo- le 19 Janvier 2013 à 20:19
votre commentaire -
Par -Gabo- le 2 Janvier 2013 à 19:59
Et si nous étions entrés dans une aire de surexcitation. Une aire où les générations présentes sont habitués par la société à demeurer dans un état d'activité cérébrale intense, par des stimulations multiples nouvelles (internet, téléphonnes, etc), qui les poussent à l'extrême (alcool, sexualité précoce, etc). Aurions-nous un peuple hyper éclairé, capable de finir un livre en une journée et avec des capacités logique et cognitives surdéveloppées, faisant preuve d'une endurance cérébrale hors du commun dans l'histoire de l'humanité ? Ou bien est-ce que ce peuple, drogué à l'exitation, ne vas pas se voir obligé, pour assouvir son désir, d'ingurgiter constament les stimulations offertes par la société, sans plus aucun regard critique sur la nature de ces simulations ? Imaginons que ces simulations soient controlées, et elles le sont, par tout un marqueting et une poliltique mondiale, imaginons, et constatons effroiyablement la vulnérabilité de ce peuple nouveau, soumis à une politique imposée par non pas une classe de dirigents, concept oh combien anachronique à notre temps, mais par des individus au sommet du systeme. Car il y a bien un contrôle. Et pour internet, oui on y trouve ce que l'on veux, mais il y a quand même une volonté de diriger les masses d'internautes dans un certain sens, c'est flagrant. Le problème, c'est que ce nouveau peuple vulnérable voulant l'exitation"tout de suite et maintenant" a de forte chance de suivre un mouvement aboutissant certainement à ses fins, n'ayant même plus conscience des choses annexes.
Disons non à cette societe, refusons cette exitation qui ne ferait que nous alliéner: restons sans rien faire, le poing levé.
Ou comment justifier une énorme flémingite grâce aux problèmes de societe.
1 commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique