• Rêve de la nuit du 26/02/2013 au 27

    Villefranque (ou pas), on me dépose en voiture (ma mère ?) au détour d’un virage. Je veux pisser mais régulièrement des gens passent. Il y a un fossé que j’enjambe à moment donné. Marion et Simone arrivent. La maison de Simonne est juste à côté. On est content de se voir tous les trois. Elles me demandent des nouvelles. Je dis que je suis aux Beaux-Arts, au Japon. On cherche le Japon dans un atlas. Mais à chaque fois la carte s’arrête juste à la limite et on ne trouve pas le Japon. Le monde est grand. C’est bizarre parce que l’on n’a mis qu’une journée de voiture avec mes parents pour ‘y rendre. C’est peu. D’autant plus qu’il faut passer par la Russie, ce qui implique l’obtention d’un visa. Même si on ne s’y arrête pas ? On descend de chez Simonne jusqu’au centre du village, et on s’arrête à l’hôtel à l’angle, juste en face de Hannah coiffure. On note des trucs administratifs sur des ppiers sur la porte de l’hôtel et sur nos passeports. On entre. La gérante ressemble à Suzie. C’est la deuxième fois que je suis là. Il y a trois militaires en uniforme dans la pièce exiguë. Sur la table de quoi rafistoler leurs uniformes : petits bouts de tissus kakis, fils et aiguilles. Ma mère fait remarquer qu’ils pourraient savoir réparer leurs uniformes eux-mêmes. Leurs uniformes ne semblent pas endommagés. Ils sont parachutistes. Mon père se met à raconter son expérience de parachutiste dans l’armée. Une section expérimentale d’aéronautique. Des opérations les plus dangereuses et les plus folles exécutés par des tarés (un peu la même ambiance que Apocalypse now). Ces opérations folles ont lieu dans un monde qui tombe dans le déchéance. Je suis dans cette ville déchue. Il est question d’un livre. Mais il n’y a plus d’imprimerie en état de fonctionnement, donc un livre est impossible. D’où l’idée de lancer la rumeur que le parti socialiste a sorti un livre, pour créer un mouvement. Il y a des gangs de méchants asiatiques en costa cravate. Deux d’entre eux, le gang A et le gang B, font une course poursuite en voiture. Dans la rue le garde du corps du gang A se retrouve en bas d’un escalier. Deux gars du gang B emportent le chef du gang A. Le gars du gang A fait un bruit pour que les gars du gang B se penchent au-dessus de la rambarde. Il leur tire alors une balle dans la tête, blessant son chef au passage. Le chef du gang B arrive. Il n’est pas armé, donc impuissant. Lui et le gars du gang A discutent pour calmer le jeu et finissent par s’échanger un capote pour partir en paix. Le chef u gang B ouvre la capote, ce qui m’étonne étant donné qu’il la gâche ainsi. Je vais à la prison des filles voir mon amie pour la deuxième fois. C’est le soir. Il s’agit d’un couloir avec  des dortoirs à gauche et à droite. Quand je rentre deux jolies filles s’embrassent et se câlinent tendrement au sol dans le couloir. Une troisième jolie fille se joint à elles. Toutes les chambres sont remplies de jolies filles. Mon amie m’attend au bout du couloir. Elle est jolie Elle a de long cheveux lisses et blonds. On entre dans le dortoir du fond. La lumière y est éteinte, toutes les autres filles dorment dans cette chambre. Le lit de mon amie est à droite, juste éclairé par la lumière bleue de la lune. Elle referme la porte derrière elle. Je fais remarquer tout doucement que nous sommes tous les deux-là et que l’on ne voit plus rien. On s’embrasse alors immédiatement pour la première fois. On se couche dans son lit. Je suis au-dessus, les jambes écartées autour d’elle. Je me souviens d’un image d’amour de ma banque d’images, te m’insère entre ses jambes. Je suis toujours dans le lit mais c’est ma chambre et je suis sur mon gros ours en peluche brun. C’est comme si je baisais mon ours. Un sorte de branlette. La lumière est allumée. Ma mère entre. Je cache l’ours en peluche sous ma couverture pour ne pas qu’elle croie que je dors avec une peluche.

    Un rêve. 

     

     

     

     

     

    Carrefour auquel l'on m'a déposé. La maison que l'on vois est celle de Simonne. Dans mon rêve cet endroit est beaucoup plus boisé.

    Un rêve.

     

     

     

     

     

     

     

    Centre de mon village. L'hôtel dont j'ai rêvé est à l'angle à droite. Il n'existe pas dans la réalité.

    Un rêve.

     

     

     

     

     

     

     

     

    Voilà le style de l'unité dans laquelle servait mon père, en tant que parachutiste, dans mon rêve.

    Un rêve. 

     

     

     

     

     

     

    Voilà le genre des méchants asiatiques.


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  • Mathias qui fait le fou


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  • cours de dessin au muée océanographique de Monaco.

     

     

    cours de dessin au muée océanographique de Monaco.

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  • Mathilde cueillant une orange pulpeuse au goût exquis
    fusain sur papier, 100x200cm

     


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